vendredi 27 septembre 2013

Metropolitan Vintage Show


Après la braderie annuelle de Lille, voici le Metropolitan Vintage Show - trois jours pour repartir dans les sixties…

mercredi 6 mars 2013

Brocante - les conseils d'un pro

Découvrez le livre de 160 pages "Brocante - les conseils d'un pro" de Hubert Duez, paru en mars 2012.
«Comment chiner dans un vide-grenier ? Peut-on chiner sur Internet ? Quels sont les divers styles et époques ? Comment différencier le cristal du verre ? reconnaître la faïence de Quimper ? dater une horloge comtoise ?... Tous les conseils, astuces et autres informations pratiques.
-> extraits…
LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE : Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE :
Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE :
Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité.
Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. (...)
».

mardi 26 février 2013

Dans les coulisses…

A regarder dimanche soir 3 mars 2013, sur M6, dans l'émission CAPITAL, un reportage :
«Déco, art : dans les coulisses du "Marche aux Puces".

«Saint Ouen (93) est célèbre pour son marché aux puces créé à la fin du XIXe siècle. Répartis sur sept hectares, 1700 marchands proposent des millions d'objets : vêtements, meubles, livres, bibelots… Pour les chineurs, c'est un lieu de rêve. En est-il de même pour tous les professionnels qui travaillent au sein de cette ville dans la ville ? Les particuliers peuvent-ils réellements faire de bonnes affaires . Comment le marché parvient-il à faire face à la concurrence d'Internet ?». © téléZ


«Déco, art : dans les coulisses du "Marché aux Puces".
C'est un document exceptionnel. Nous avons installé nos caméras dans un des lieux touristiques les plus fréquentés de la capitale, avec près de quatre millions de visiteurs par an : le marché aux puces de Saint-Ouen. 7 hectares aux portes de Paris qui cachent un univers incroyable : celui d'un marché fondé à la fin du 19ème siècle et qui réunit aujourd'hui 1 700 marchands : plus d'un millier d'antiquaires, 500 pour les fringues et 100 personnes qui travaillent dans les bars, restaurants, ou chez les transporteurs spécialisés. Tous ont leurs codes, leurs traditions, leurs secrets que nous avons percés. Chaque jour, des pièces d'art ou de mobilier passent de mains en mains, voyant au passage leurs prix multipliés par 2 à chaque étape. Du particulier au brocanteur, du brocanteur à l'antiquaire, de l'antiquaire au riche client final. Des échanges commerciaux qui ont fait pendant longtemps la fortune de certains professionnels, présents parfois ici depuis plusieurs générations ! Vous suivrez leur travail au quotidien : comment dénichent-ils la plus belle pièce ? Et comment les prix peuvent-ils s'envoler en quelques secondes ? Mais pour les particuliers, le marché des antiquités c'est un univers compliqué à pénétrer. Comment s'y retrouver lorsqu'on est acheteur et être certain de faire une bonne affaire ? Vous verrez également comment les marchands s'organisent pour résister à une toute nouvelle concurrence : celle d'Internet. En effet, bon nombre de particuliers vendent désormais leurs vieux objets sur le net, forçant les antiquaires à s'adapter!».
© Laurent Lesage et Caroline Gauthier

dimanche 20 janvier 2013

Les dessous de la récup'

Ce soir à 20h38 sur France 5, un reportage de 53 minutes : «Les dessous de la récup».

 «Pour pallier un pouvoir d'achat en forte baisse, des millions de Français ont recours à la «récup». L'engouement pour cette alternative n'est plus à prouver, avec les 50 000 vide-greniers qui voient le jour chaque année dans toutes les régions de l'hexagone. Les braderies couvrent maintenant des secteurs très divers, de l'automobile à la...».

dimanche 23 décembre 2012

Antiquités Brocante n°170

Antiquités Brocante n°170, Spécial Noël - 100 idées cadeaux vintage, daté du 29 novembre 2012.


«Vous êtes passionné d'antiquité, vous aimez chiner, vous êtes à la recherche d'astuce pour chiner malin ? Ne cherchez plus, lisez Antiquités Brocante. Chaque mois, retrouvez :
- des dossiers thématique 
- des conseils pratiques 
- des rencontres avec des passionnés 
- le calendrier complet des foires, salons, brocantes...
- les nouvelles tendances,
- et des petites annonces d'achats ou d'échanges classées par rubrique».

Feuilletez le magazine

jeudi 29 novembre 2012

Objets cultes du mobilier industriel

Découvrez le livre de 240 pages "Objets cultes du mobilier industriel" de Brigitte Durieux, paru en octobre 2012.


«Le style industriel est né. Chaises et tables de bistrot, vestiaires, meubles de tri postal, lampes articulées : le mobilier métallique est aujourd'hui chiné et même traqué. L'auteur du Mobilier industriel, Brigitte Durieux, raconte l'histoire d'une cinquantaine d'objets (européens et américains) qui ont été utilisés par nos aïeux, puis sont sortis des usines pour entrer dans nos salons et devenir aujourd'hui de véritables meubles cultes (lampe Gras, tabouret Singer, réflecteur Holophane, horloge Brillié, etc.). Chaque objet est magnifié par les photographies de Laziz Hamani. Jouant avec la lumière et les détails, il les immortalise en les photographiant sous toutes leurs coutures. Avec plus de 250 photographies ce livre, présenté dans un coffret original, est un catalogue unique du style industriel. Indispensable pour les chineurs invétérés».

Atelier INDUS'…

Découvrez le livre de 160 pages "L'Atelier Indus'-20 meubles et objets incontournables a Renover Pas a Pas" de Nathaie Girardin, paru en octobre 2012.


«Très tendance, les meubles et objets industriels relookés se vendent à prix d or. Or, il est encore possible de dénicher à bon prix des éléments à restaurer.  Sous la houlette de Nathalie Girardin, artisan-restaurateur et décoratrice, apprenez à rénover vos trouvailles grâce à des techniques de pro expliquées pas à pas et complétées par de nombreuses photos.  Meuble de tri postal, vestiaire métallique, tables, chaises, luminaires, mobilier de rangement... n attendent plus que votre savoir-faire pour reprendre vie et faire rayonner votre intérieur!»

NdlR : Les six chaises rouges que vous voyez, ne sont pas des Tolix mais des Multipl's (fabriquées à Lyon) - celles de la photo à partir de 1935. Celles qui sont antérieures à 1935 ont une assise en bois (création de 1928 à 1934). La chaise à gauche en bout de table, est une Tolix. Les Tolix ont été fabriquées à partir de 1934.

dimanche 4 novembre 2012

Le Bon Coin...

NB : Désormais, je ne vais plus mettre de lien pour voir mes objets mis en vente sur le site de petites annonces entre particuliers (le plus connu!). A vous d'aller voir directement sur le site si l'objet y est ou pas, en sélectionnant le département de l'Isère (et aussi le code postal si vous êtes pressé : 38530).

Les Puces de St Ouen

Ce soir sur Fance 5, à 20h35 un reportage sur les Puces de St Ouen. 
Rediffusion dimanche prochain (le 11 novembre) à 15h55, toujours sur France 5. 

«Aux abords de la Porte de Clignancourt, se trouve le plus grand marché aux puces du monde. Onze millions de visiteurs y affluent tous les ans et chaque week-end, 200 000 personnes s'y pressent. De la pompe à vélo vendue 20 centimes au lustre Louis XVIII cédé à plusieurs dizaines de milliers d'euros, on trouve toutes sortes d'objets, de meubles et de vêtements dans cette incroyable caverne d'Ali Baba. On y croise aussi une foule de gens et de tribus : biffins miséreux, créateurs branchés, antiquaires fumant le cigare, rappeurs ou encore policiers. Une France en miniature cohabite dans un périmètre d'à peine deux kilomètres. Chaque communauté a son propre territoire».

Voici le lien (la vidéo n'est disponible que quelques jours seulement) sur pluzz : http://www.pluzz.fr/le-doc-du-dimanche-2012-11-04-20h35.html

samedi 29 septembre 2012

Les collectionneurs de l'extrême

 Hier vendredi 28 septembre 2012, était diffusé sur direct 8 le deuxième volet du reportage consacré aux collectionneurs. Le premier ayant été diffusé vendredi dernier. Vous pouvez les voir sur le site de la chaîne Direct 8.

Premier reportage :  «Dans cet épisode nous retrouvons Ludovic, Michel, Vincent et la famille Hengel, quatre personnages toujours atypiques, surprenants et profondément attachants à la recherche d'un équilibre précaire entre une collection envahissante et une vie privée épanouie.
 

- Ludovic, 17 ans, ne vit que pour le Tour de France, il possède plus de 300 maillots, 500 bidons, 100 dédicaces authentiques et 10 00 revues classées.


- A 80 ans, Michel n’a pas perdu son âme d'enfant, ce vigneron collectionne les voitures de course, les motos, les camions de pompier et les avions de chasse qu'il entrepose dans son jardin.


- A Fribourg en Suisse, Vincent, 27 ans, vit dans les étoiles grâce aux 300 objets dérivés de Starwars qu'il expose dans son 70m².


- La famille Hengel vit au Luxembourg et collectionne les Playmobil. Toutes leurs activités tournent autour des petits jouets qu'ils utilisent pour des reconstitutions de grande scène de vie».
Durée : 01:21:45

Deuxième reportage : Fan de Bruce Lee, collectionneuse de vêtements vintage, collectionneur d'anciens jeux vidéo, collectionneur de véhicules américains de la seconde guerre. Durée : 01:18:57
 «En France, au Luxembourg, en Suisse et jusqu'a Rome, nos équipes ont suivi des passionnés qui ne vivent que pour leur collection. Fan du tour de France, admirateur de Bruce Lee, dingue des Playmobil ou accro à l'univers Starwars, vous découvrirez ces personnages atypiques, surprenants et profondément attendrissants à la recherche d'un équilibre précaire entre une collection envahissante et une vie privée épanouie. Ginger collectionne la lingerie du 18eme siecle aux années 60 ainsi que les robes et les chaussures des années 30 et 40Lionel - père de famille de 33 ans - est un fan de Bruce Lee».

dimanche 2 septembre 2012

VIDÉO : Braderie de Lille (2)

Braderie de Lille: Plus de deux millions de chineurs attendus 

«Le plus grand marché aux puces d'Europe a ouvert ses portes samedi matin... 
La braderie de Lille a ouvert ses portes samedi matin et devrait attirer tout au long du week-end au moins deux millions de bradeux et chineurs, prêts à jouer des coudes dans les rues de la ville, à la recherche de bonnes affaires, du buffet Louis XIV… en passant par la paire de bretelles fluo. La braderie de Lille et ses 10.000 exposants réunis sur 100 km d'étals dans presque tout le centre de la capitale des Flandres se déroule traditionnellement le premier week-end de septembre. 

Son principe ? «Se débarrasser de toute chose dont on n'a plus usage à un prix symbolique», explique Daniel, 62 ans, originaire de la banlieue parisienne, qui a installé mardi son camping-car dans une rue calme de la ville, à quelques pas de la mairie. Comme cet habitué, présent «au même endroit» depuis une dizaine d'années, brocanteurs et chineurs ont fait le déplacement quelques jours avant le coup d'envoi de la manifestation pour être aux premières loges. Chaises et tables pliantes ont été disposées sur les trottoirs, devant de petites affichettes où il est indiqué «emplacement réservé». Un riverain a directement tracé à la craie blanche son futur emplacement, sur 15 mètres. D'autres ont installé leurs chaises à un feu rouge, sur l'une des principales artères de la ville. «On vient comme un toutou vient marquer son territoire. On occupe, mais on ne déballe pas», remarque Daniel. En attendant l'agitation du week-end, «on voit des copains, on boit un coup... ou deux», ajoute ce collectionneur de lampes anciennes. 

Ce rendez-vous incontournable et multiséculaire débute officiellement le samedi à 14h00, à l'issue du semi-marathon et du 10 km, auxquels participeront cette année 12.000 coureurs selon les organisateurs, et prend fin le lendemain à 23h00. Mais les chineurs de tous pays se pressent dès le samedi matin, voire le vendredi soir sur l'esplanade, pour trouver la perle rare. Entre deux achats de marchandises, les badauds pourront se repaître avec le sacro-saint mets de la braderie, les fameuses moules-frites accompagnées de bière. Environ 500 tonnes de moules devraient être consommées en un week-end, et leurs coquilles vides déposées en un immense tas. 

En 2011, le «plus grand marché aux puces d'Europe» avait été suspendu quelques heures le samedi soir, «pour la première fois», en raison d'orages, une situation «cauchemardesque» pour Jacques Richir, adjoint au maire délégué à la braderie, fêtes et animation, même si cela avait «permis de tester l'ensemble des dispositifs de sécurité». L'édition 2012 sera elle placée sous haute surveillance policière, alors que le Losc affronte le PSG dans son Grand Stade dimanche soir en clôture de la 4ème journée de L1. Quelque 600 policiers seront mobilisés en plus des 1.600 habituels pour garantir le «bon déroulement de ce double événement, dont l'esprit de fête doit être conservé», selon le préfet du Nord, Dominique Bur. La braderie est née au XVe siècle, lorsque les domestiques ont été autorisés une fois l'an à vendre pour leur profit les vieux objets de leurs maîtres».
© 20minutes.fr (page originale).

 

Braderie de Lille

Les chineurs de France et d'ailleurs se donnent rendez-vous dans le Nord tout le week-end pour le plus grand marché aux puces d'Europe.


«Si officiellement la braderie de Lille, plus grand marché aux puces d'Europe, débute à 14 heures, les chineurs se sont levés de bon matin, affrontant les températures automnales et croisant sur leur passage les coureurs du semi-marathon.
Nicole a mis le réveil à 06 heures, a chaussé de bonnes chaussures et a écumé plusieurs étals répartis sur 100 km de trottoirs, au coeur de la capitale des Flandres.
Bradeuse avertie, elle recherche "tout ce qui est insolite". Devant une pompe dont l'usage reste à définir, elle lance : «Moi, j'ai une idée, c'est pour les gens qui nous pompent l'air!».
Caddies, valises et même brouettes, tout véhicule de locomotion est bon pour transporter les marchandises. Jean-François Legrand, 58 ans, espère mettre dans son chariot rouge «de la faïence de Desvres», du nom de cette ville du Pas-de-Calais où il vit.
«Toutes les usines sont fermées, donc on retrouve la vieille faïence ici, à 30 euros au lieu de 200», constate celui pour qui la braderie, «c'est sacré».
Dominique, 66 ans et «autant de braderies», qui ne raterait ce rendez-vous annuel «pour aucun prétexte», a mis, elle, dans son caddie «une lampe en forme d'araignée». Et reste toujours en quête d'un «coup de coeur» ou de «l'objet insolite», comme cette balancelle sur laquelle son regard s'est posé.
«Un collectionneur nous a acheté toutes nos pipes. Beaucoup recherchent cette année de l'argent et de l'or. Ils viennent avec leurs petites balances et on vend au poids», racontent Dominique et François, qui installent leur étal chaque premier week-end de septembre au même endroit, alors qu'une cliente leur demande un objet bien particulier, une cuillère à absinthe, qu'elle peine à trouver.

 Cliquez sur le plan pour l'agrandir  

Les incontournables moules-frites 
Sur les coups de midi, les chineurs délaissent les stands pour savourer le mets inévitable de la braderie, des moules-frites accompagnées d'un verre de bière. Déjà en fin de matinée, des tas de coquilles vides fleurissaient dans les rues du centre-ville. Environ 500 tonnes de ce mollusque devraient être consommées d'ici dimanche soir. Les deux à trois millions de chineurs attendus ce week-end pourront ensuite continuer à faire de bonnes affaires et repartir avec livres, statuettes, paires de skis ou mains de mannequins, dans une ambiance festive, même si la surveillance policière sera accrue en raison du match de Ligue 1 entre Lille et le PSG dimanche soir».
© Nouvel Observateur

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Braderie de Lille : les chineurs sont déjà à l'affut